8 nouveaux jeunes intègrent la police nationale en Martinique

La cérémonie de la 145e promotion de policiers adjoints en Martinique, s’est tenue le 3 mai 2024 au commissariat du Lamentin. Les 8 nouveaux jeunes admis préparent maintenant leur prochain concours de gardien de la paix.

Vendredi 3 mai 2024, la police nationale de Martinique a officiellement admis dans ses rangs 8 nouveaux PA (Policiers Adjoints) appelés jadis ADS (Adjoints De Sécurité).

La cérémonie de cette 145e promotion s’est déroulée à l’hôtel de police du Lamentin, en présence de plusieurs gradés.

Ce cru respectait une parfaite parité avec 4 femmes et 4 hommes. Ces nouvelles recrues ont terminé leurs quatre mois de scolarité qui s’est déroulée au sein du Service Territorial du Recrutement et de la Formation (STRF) au commissariat du Lamentin.

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Le policier adjoint exerce ses fonctions à temps plein pour une durée de trois ans, renouvelable une fois par reconduction expresse.

Durant son contrat de travail, il bénéficie d’une « formation continue destinée à répondre aux besoins du service d’affectation, à le préparer aux évolutions de son métier ou à d’éventuels changements d’emploi, en assurant son perfectionnement professionnel ».

Des mesures d’insertion professionnelle lui sont offertes pendant toute la durée de son contrat. Il peut bénéficier d’une formation gratuite le préparant aux concours de la police nationale, notamment au second concours interne de gardien de la paix auquel il peut se présenter après un an de service et où un grand nombre de PA réussit. Il [le policier adjoint] a aussi la possibilité de faire valider son expérience professionnelle par un diplôme « sûreté des espaces ouverts au public » de niveau CAP reconnu par l’Éducation nationale.

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Les 8 nouvelles recrues en tant qu’adjoints de la police nationale en Martinique (ami 2024).


Les 8 nouveaux policiers adjoints (PA) de Martinique participeront aux « missions de prévention et de répression de la délinquance, de surveillance générale et d’assistance aux personnes ».

Sur le terrain, ils sont aux côtés des gardiens de la paix dont « les effectifs sont toujours insuffisants » tonnent sans cesse les syndicats locaux et nationaux.


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