Zeus, le cheval métallique des Jeux olympiques part en tournée dans toute la France

Le cheval à succès de la cérémonie d’ouverture des Jeux de Paris, sera exposé dans plusieurs villes de France à partir du 3 mars.

La star en métal de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris va bientôt reprendre du service. Le groupe pharmaceutique Sanofi, propriétaire de l’œuvre, a récemment annoncé que le cheval Zeus allait être exposé dans plusieurs villes françaises, ainsi qu’à Francfort en Allemagne, dans le cadre d’une tournée qui débutera le 3 mars prochain. Il incarne « des valeurs de résilience, d’excellence, de solidarité et de paix » a déclaré Sanofi dans un communiqué de presse.

Ce dernier sera également exposé à Paris, porte Maillot, le 3 mars. À Montpellier, promenade du Peyrou, du 5 au 14 mars (avec une exposition itinérante samedi 8 et dimanche 9 mars). À Lyon, hôtel de ville, du 17 mars au 2 avril (avec deux expositions itinérantes, samedi 22 et dimanche 23 mars, et samedi 29 et dimanche 30 mars). À Marseille, du 16 au 26 avril. À Bordeaux, du 3 mai au 9 mai (avec une exposition itinérante samedi 3 et dimanche 4 mai). À Rouen, du 12 au 23 mai (avec une exposition itinérante samedi 17 et dimanche 18 mai). À Francfort, du 17 au 27 juin, et pour finir à Nantes, ville ou ce dernier a été conçu, du 19 au 29 septembre. Le cheval argenté sera également visible cet été au Mont-Saint-Michel, où il doit rester près de deux mois.

Conçu en partenariat avec l’entreprise pharmaceutique Sanofi, le cheval mécanique d’1,80 mètre a été réalisé par l’atelier Blam basé à Nantes (Loire-Atlantique). Avant sa tournée, Zeus avant déjà fait une apparition à l’hôtel de ville de Paris, avant de prendre ses quartiers dans la cour du château de Versailles jusqu’au 12 janvier dernier.

Pendant la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris, le destrier avait marqué les spectateurs en parcourant la Seine sur 6 kilomètres, monté par une cavalière masquée. Selon Thomas Jolly, directeur artistique des cérémonies olympiques et paralympiques, l’œuvre était « l’incarnation de Sequana, déesse du fleuve et symbole de résistance ».

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