Individus armés, violences, vols… De nouvelles interpellations en marge du Mercredi des cendres à Pointe-à-Pitre

Le carnaval 2025 s’est achevé en Guadeloupe, ce Mercredi des cendres (5 mars 2025). À Pointe-à-Pitre, un important dispositif de sécurité a été mis en place par la Police nationale. Il a permis, notamment, plusieurs interpellations d’individus armés.


Ce sont plus de 8 000 personnes qui ont envahi les rues de Pointe-à-Pitre, une dernière fois, pour cette saison carnavalesque 2025, à l’occasion du Mercredi des cendres (5 mars 2025) et son traditionnel défilé en noir et blanc. Comme à l’accoutumée, le roi Vaval a été incinéré marquant la fin de ce carnaval. 

Ce dernier déboulé s’est déroulé en présence des forces de l’ordre, comme depuis le lancement des festivités, il y a plus de 60 jours, début janvier.

Ce mercredi, le dispositif sécuritaire comprenait 60 policiers nationaux, avec un appui stratégique des drones et 13 agents de la Police municipale dans les rues pointoises.

Malgré les mesures de sécurité, plusieurs incidents, rapporte la Police nationale, ont émaillé la soirée. Encore une fois, des armes ont été retrouvées par les forces de l’ordre. Au cours de la soirée :

  • un individu interpellé pour port d’arme de poing / de catégorie D

Arme à feu retrouvée lors d’un contrôle, le 5 mars 2025, lors du mercredi des cendres à Pointe-à-Pitre


  • 4 personnes blessées par arme blanche
  • Un vol avec violence signalé : téléphone, chaîne et sacoche dérobés
  • Un individu interpellé pour tentative de vol, violences et recel de téléphones

Armes blanches retrouvées lors d’un contrôle, le 5 mars 2025, lors du mercredi des cendres à Pointe-à-Pitre



Armes blanches et drogues retrouvées lors d’un contrôle, le 5 mars 2025, lors du mercredi des cendres à Pointe-à-Pitre



Arme blanche retrouvée lors d’un contrôle, le 5 mars 2025, lors du mercredi des cendres à Pointe-à-Pitre


Pour rappel, cette saison a été endeuillée, dès les premiers jours, avec le meurtre d’un jeune homme, le 16 janvier dernier, à la rue Frébault. Kimaël Ouikède avait 16 ans.

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