Cameroun : Samuel Eto’o décide de punir sévèrement la rébellion des joueurs ; 15 ans de suspension pour…
Samuel Eto’o frappe fort contre la rébellion. Selon le journaliste Paul Chouta, le président de la Fédération Camerounaise de Football (FECAFOOT) aurait décidé de suspendre Justin Tagouh et Soleil Nyassa pour une durée de 15 ans.
Soleil Nyassa, un acteur influent du football camerounais, se retrouve ainsi exclu des activités officielles. Cette sanction radicale viserait à rétablir l’ordre au sein de l’équipe nationale.
Les tensions explosent entre la FECAFOOT et plusieurs joueurs. Depuis plusieurs mois, des conflits internes minent la sélection. Eto’o et le ministère des Sports peinent à s’entendre, fragilisant l’ensemble du système.
Indisposés face à cette instabilité, les joueurs ont décidé de réagir. Le 25 mars 2025, ils ont publié un communiqué appelant à l’apaisement et à une meilleure gestion.
Une sortie qui n’a pas plu au clan de Samuel Eto’o. Selon certaines sources, Samuel Eto’o aurait demandé aux juges disciplinaires de condamner Justin Tagouh à une interdiction de 100 ans d’exercer des activités liées au football.
Cette décision extrême viserait à sanctionner des comportements jugés nuisibles à l’harmonie de l’équipe nationale. Soleil Nyassa serait également impliqué dans cette affaire, ce qui lui vaut cette lourde sanction.
Ce conflit s’ajoute à une longue liste de différends. Depuis mai 2024, les relations entre Samuel Eto’o et le sélectionneur Marc Brys restent tendues.
Une altercation avait déjà conduit à la suspension temporaire de Brys, réintégré après des excuses publiques. Malgré son retour, la confiance est rompue.
Les dissensions entre la FECAFOOT et le ministère des Sports aggravent la situation. Le Cameroun peine à trouver une stabilité. Les querelles internes nuisent à la préparation des joueurs et ternissent l’image de la sélection.
La gestion d’Eto’o divise l’opinion. Certains soutiennent sa fermeté, d’autres critiquent son autoritarisme.
Dans ce climat chaotique, l’avenir de plusieurs joueurs reste incertain. La FECAFOOT maintiendra-t-elle ces lourdes sanctions ? Le ministère des Sports interviendra-t-il pour calmer la situation ?
Pour l’instant, aucune déclaration officielle ne vient éclaircir la situation. Une chose est sûre : le football camerounais traverse une crise sans précédent.
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