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Le ministre de la Santé du Nouveau-Brunswick, Victor Boudreau
Photo : ICI Radio-Canada
Prenez note que cet article publié en 2016 pourrait contenir des informations qui ne sont plus à jour.
Après le fédéral, c’est maintenant aux provinces de prendre des décisions délicates concernant l’aide médicale à mourir, et le processus se met en branle au Nouveau-Brunswick, explique le ministre de la Santé, Victor Boudreau.
Le gouvernement Trudeau a présenté son projet de loi cette semaine pour donner accès à l’aide médicale à mourir aux adultes souffrant de problèmes de santé graves et irrémédiables.
Le projet de loi prévoit que les capacités du malade doivent être en déclin avancé et que la mort doit être « raisonnablement prévisible ».
Le projet de loi du fédéral répond aux attentes du Nouveau-Brunswick. Le ministre Victor Boudreau dit qu’il va bientôt consulter les représentants des médecins, des chirurgiens, des infirmières et des pharmaciens.
« Pour justement discuter du contenu [de la loi fédérale] et voir comment ça s’applique au Nouveau-Brunswick. Est-ce qu’il y a des vides à combler au niveau des lois et des règlements, ou est-ce qu’on peut aller de l’avant essentiellement tel quel? », précise Victor Boudreau.
Le ministre dit aussi vouloir protéger la liberté de conscience des médecins.
« Nous voulons nous assurer que le droit de l’individu soit reconnu. Alors, si un médecin à cause de ses propres croyances ou son éthique professionnelle ne veut pas aller de l’avant avec ce service-là, c’est certain qu’il va y avoir un mécanisme en place pour assurer que quelqu’un au sein du système puisse faire affaire avec la personne qui choisit cette route là », explique Victor Boudreau.
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