Albert II de Monaco dénonce « la jalousie » qui ronge sa soeur Caroline

À la tête de la principauté de Monaco depuis 2005, le prince Albert II de Monaco est la figure incontournable de tout l’État. Pourtant, dans un reportage diffusé sur C8, il va faire des révélations surprenantes sur les rapports qu’il entretient avec Caroline de Monaco, sa sœur aînée.

Dans un reportage consacré à sa famille le 26 avril dernier, le prince souverain de Monaco Albert II, 66 ans, a fait des confidences surprenantes sur certains membres de sa famille. Il s’est surtout exprimé sur les rapports qu’il entretient avec Caroline de Monaco, sa sœur. Cette dernière a seulement une année de plus que lui. Auparavant très discret sur sa vie privée, le prince s’est livré comme jamais sur les antennes de C8.

Albert II de Monaco et sa sœur Caroline : duel ou duo ?

Un rapport de dualité dans l’enfance

« Elle a assez mal vécu l’arrivée de son frère cadet ». Tels sont les propos employés par le prince souverain Albert II de Monaco pour expliquer l’attitude que sa sœur avait envers lui quand ils étaient plus jeunes. En effet, toute petite, la fille de Rainier III et de Grace Kelly n’a pas toujours eu toute l’attention de ses parents qui étaient très occupés par leurs rôles de monarque et d’épouse de monarque. En effet, depuis leur mariage grandiose, les tourtereaux n’ont plus eu beaucoup de temps pour eux.

Caroline a presque été élevée par la nounou. Une année après sa naissance, elle était contrainte de faire la place à son cadet qui, de plus, est désigné comme le futur successeur au trône de la principauté. Pour une enfant qui ne jouit pas de toute l’attention de ses parents, c’est un exercice compliqué.

Une aînée qui s’impose malgré tout

Poursuivant ses confidences, Albert II de Monaco déclare que pendant leur enfance et leur adolescence, Caroline a toujours eu une forte personnalité. Elle a toujours été la figure dominante de la fratrie, contrairement à Albert qui, lui, était un peu timide et renfermé. Ces traits de caractères du prince lui ont valu son sobriquet d’enfant Doux Alby. La naissance de Stéphanie de Monaco, la benjamine, en 1965, n’a fait qu’augmenter son sens des responsabilités. Plus tard, en 2022, quand Stéphanie de Monaco frôle la mort dans un accident, Caroline se dévoue pour ramener le calme au sein de la fratrie.

Une rivalité commune et vécue dans toutes les familles

Le prince souverain de Monaco ne se prive pas de parler de la rivalité qui l’a opposé à sa sœur aînée quand ils étaient plus jeunes. Il avait des rapports en dents de scie avec sa sœur, comme on peut le voir entre des frères et des sœurs des familles ordinaires. Elle excellait dans l’art de lui jouer des tours et elle faisait tout pour le déstabiliser. Le prince ajoute à propos : elle ne m’a jamais fait de cadeaux. Cependant, pour les journalistes, l’attitude de l’aînée de la famille se traduit par de la jalousie.

Caroline de Monaco : une femme peu ordinaire

Caroline, une figure forte de la famille royale

La fille aînée de la maison Grimaldi voit le jour le 23 janvier 1957 à Monaco. À sa naissance, elle est la troisième dans l’ordre de succession du trône de Monaco après la princesse Grace Kelly, sa mère. La naissance de son frère le 14 mars 1958 va chambouler cet ordre. Son cadet étant de sexe masculin, il est prioritaire dans l’alignement de succession. Elle a donc toujours vécu dans l’ombre de ses parents et de son frère. Dans le livre Albert II de Monaco, l’homme et le prince, on découvre une Caroline de Monaco pleine de mystères, une véritable énigme. Elle s’est construite toute seule dans l’ombre et elle a un sens aigu à la fois pour le principe de liberté et pour le respect des convenances.

Une relation fusionnelle à l’âge adulte

Après la mort de la princesse Grace Kelly de suite d’accident en 1982, Caroline de Monaco prend les rênes de la fondation Princesse -Grace-de-Monaco. Une fondation jusque-là dirigée par sa défunte mère qui a pour but de venir en aide aux personnes défavorisées en finançant le tiers du budget de leurs soins. En 1985, elle annonce officiellement la création de la Compagnie des Ballets de Monte-Carlo, exauçant ainsi un vœu cher à sa mère. En 2005, quand est venue l’heure pour Albert II de Monaco d’occuper le trône de son père, elle devient une aide précieuse pour ce dernier comme l’affirme le magazine Closer.

Une épaule sur laquelle on peut compter

Depuis que le prince Albert II de Monaco s’est anobli, tout est important aux yeux de Caroline, sa sœur aînée. Au plus haut point, le bonheur de son frère est d’une importance capitale. Surnommée la ministre officieuse de la Culture à Monaco, elle est consciente de son rang et elle a su gagner en influence auprès du peuple grâce à ses diverses engagements dans le secteur culturel. En 2021, quand Charlène Wittstock, l’épouse d’Albert avait des problèmes de santé et que le sujet de sa maladie faisait les choux gras de la presse, le prince Albert avait à ses côtés le soutien infaillible de Stéphanie et surtout de Caroline l’aînée de la famille.


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