Le Form’aKa existe depuis une quinzaine d’années en Guadeloupe. Sa créatrice est une Guadeloupéenne de talent, Jenny Paulin. Alliance de sport et de danse, ce phénomène ne cesse de gagner en popularité. Un succès qui s’est exporté dans de nombreuses parties du monde.
Paris, Toulouse, Londres, Trinidad ou encore le continent africain, la vague Jenny Paulin n’a plus de limites. Avec 15 ans d’existence, le Form’aKa, le sport qui allie la danse à la culture n’a pas pris une ride. Il ne cesse même de s’améliorer avec des chorégraphies à couper le souffle. Mais comment expliquer un tel succès ?
La base est sur notre culture or la culture du gwoka est quelque chose de puissant on le sait. On est sur une musique fondal qui est basée sur du live. On a de la chance d’avoir des musiciens qui performent et qui arrivent à suivre tous les petits détails, les moindres pas qu’on puisse faire.
Jenny Paulin, créatrice du Form’aKa
Bref ce « sport danse » créé une puissance très forte qui entraîne tout le monde. Une des choses importantes pour Jenny, c’est de faire voyager sa culture, faire connaître la Guadeloupe partout dans le monde. Et pour cela, ici, pas question de travailler avec des enceintes, on travaille avec de vrais musiciens, en live.
Je suis un bébé gwoka. Je suis née avec cette culture. Le Ka nous porte, nous permet de nous dépasser et d’aller encore plus loin qu’on aurait osé l’imaginer.
Les demandes pleuvent, le concept est réclamé dans la Caraïbe, en Europe ou encore en Afrique. Depuis 15 ans, c’est toujours le même accueil et le même engouement.
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