avant Anne Hidalgo, la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra s’est baignée dans la Seine
Plouf, dans la Seine. En combinaison de plongée, coiffée d’un bonnet de bain, la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra s’est baignée dans le fleuve, samedi 13 juillet, à treize jours de l’ouverture officielle des JO de Paris 2024.
N’échappant pas à une petite glissade, la ministre est entrée dans l’eau vers le pont des Invalides, non loin du lieu où doivent se dérouler les épreuves olympiques. Elle était accompagnée par le tout nouveau porte-drapeau de l’équipe de France paralympique, le paratriathlète Alexis Hanquinquant.
Amélie Oudéa-Castéra devance de quelques jours Anne Hidalgo – avec qui elle entretient une mauvaise relation notoire – et qui a programmé de se baigner le 17 juillet, si la qualité de l’eau le permet.
« C’est fabuleux. Quel bonheur, c’est juste génial, a réagi Amélie Oudéa-Castéra devant la caméra de BFMTV. Promesse tenue, engagement tenu, pari tenu. »
La qualité de l’eau s’améliore
Après plusieurs salves de mauvais résultats en raison d’une météo très pluvieuse, les autorités locales ont annoncé vendredi de bons résultats de l’analyse de l’eau, à deux semaines pile du début des JO.
Depuis le printemps, les organisateurs, ainsi que l’État, la mairie et la préfecture de région sont sur les dents en raison de cette météo très pluvieuse qui a fait reporter des répétitions de la cérémonie d’ouverture ainsi qu’un entraînement de l’équipe de France de nage en eau libre.
Pas d’inquiétude sur la tenue des compétitions
La qualité de l’eau de la Seine était conforme aux standards de baignade « onze jours, ou dix jours » sur les douze derniers, a indiqué vendredi sur RFI l’adjoint à la mairie de Paris chargé des Jeux olympiques et de la Seine. « On espère qu’il va faire un peu meilleur mais on n’a pas du tout d’inquiétude sur la possible tenue des compétitions, qui vont se faire », a-t-il ajouté.
Les épreuves olympiques de triathlon (30 et 31 juillet, 5 août) et de nage en eau libre (3 et 4 août) doivent se dérouler au niveau du pont Alexandre-III.
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