Retranscription des premières minutes du podcast :
– Le Loft Musique Sud Radio, Yvan Cuchius.
– Toutes les choses ont leur beauté mais tout le monde ne sait pas les voir.
– Andy Warhol.
– Merci d’être avec nous cet après-midi pour ce Loft Musique.
– C’est bien, ça commence bien.
– C’est ça l’idée.
– Ça commence par une citation quoi d’Andy Warhol.
– Je m’attendais à une citation de Jules, moi qui aurais été le plus approprié.
– Tu citais absolument n’importe qui, tout le monde.
– Mais voilà, c’est pour vous faire réfléchir.
– Et je vous invite à cette réflexion sur le fait qu’on puisse ne pas voir les belles choses qui sont face à nous quelquefois.
– Voilà.
– Allez, merci, bonsoir.
– Merci de m’accueillir nos invités de cet après-midi qui vont partager cette passion pour la chanson.
– Ils les animent pour le live même pour certains qui vont nous gratifier, qui vont nous gratifier.
– C’est un invité que vous connaissez d’un joli live tout à l’heure avec ce magnifique piano de Sud Radio.
– Il est l’incarnant.
– Le fondateur, le leader de ce merveilleux groupe trio.
– Et il revient pour son deuxième album en solo.
– Il s’appelle Christophe Mali.
– C’est l’hymne de nos campagnes, de nos rivières, de nos montagnes, de la vie humaine.
– Merci Christophe d’être là.
– On est ravis toujours de t’accueillir ici.
– Tu sais que c’est un peu open bar pour toi ici.
– J’adore, j’adore, je suis ravi.
– Merci de ta fidélité.
– Écoute, c’est le moindre des choses.
– Merci d’être là également.
– Merci à vous.
– On va évoquer le répertoire de son papa.
– Et puis sa performance et sa prestation à lui.
– Il s’appelle Grégory Mouloudji.
– L’amour, l’amour, c’est le poivre du temps.
– Grégory, qui chante Mouloudji.
– C’est au Théâtre Galabru à Montmartre les lundis, c’est ça ? Non, jeudi.
– Les jeudis, voilà, c’est ça.
– On va en reparler plus précisément.
– Merci d’être avec nous Grégory.
– Et puis on va parler avec…
– Un collègue, un collègue de la radio, de la télévision et aussi du Sud d’ailleurs.
– Passionné à la fois par le football et la musique, qui publie aux éditions Hugo Sport, Musique Football Club, il s’appelle Stéphane Bassé.
– Mais c’est pas moi qui chante.
– Ah oui, là, je suis surpris là.
– Quelle voix, quelle énergie Stéphane.
– Il a fait ce petit titre qui a finalement pas mal marché.
– Oui.
– Non mais c’est rigolo parce qu’on a choisi ce titre-là qui évoque maintenant, définitivement en tout cas, le football et le sport.
– Alors oui, on a eu How We’ll Survive en 98, où il y avait des la-la-la.
– Et là, en 2018, c’était Nanana de Gala avec Fritz von des Ailleurs, qui est une chanson qui a vécu une seconde vie grâce à nos Bleus et grâce à cette victoire.
– Et ce livre est préfacé par Didier Drogba, le footballeur bien connu évidemment, qui a fait une merveilleuse carrière.
– Et tu es allé interviewer notamment Obispo, Michael Youn ou l’RV, Lord Esperanza, ou Bertignac, pour aussi qu’ils te fassent part de cette passion, de cette attirance qu’ils ont pour ce jeu.
– Et tu fais des parallèles sur différents niveaux entre le foot, la prestation, la performance devant le public d’un sportif et celle d’un artiste.
– C’est super intéressant, Christophe Magliettiou.
– Tu aimes le football, toi, et le sport en général ? Eh bien, écoute, le sport, oui. Le football, je ne connais pas, j’avoue.
– C’est un sport qui se joue à 11 contre 11.
– Oui, c’est ça. C’est un jeu de ballon, c’est bien ça.
– Non, non, j’avoue que je ne suis pas…
– Je ne suis pas au fait du football et je ne suis pas un fan de football.
– Et je ne suis pas forcément…
– Enfin, à part le tennis, que j’aime bien regarder à la télé.
– Mais sinon, voilà, c’est très, très…
– Par contre, j’ai eu l’occasion de jouer pour la Ligue au Stade de France.
– Ah oui ? Oui, oui, plusieurs fois.
– Au Stade de France, c’est le mec qui s’est le payé.
– Oui, je déteste le foot, mais…
– Je n’aime pas trop le foot, mais mon premier match, c’était au Stade de France.
– C’est au Stade de France, oui, c’est ça.
– C’est un peu ça.
– Bon, Christophe Magliettiou, cette aventure avec Trio est merveilleuse parce…
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