Enterré sous la guerre en Ukraine, les massacres et les tensions au Proche-Orient, le plan de relance européen se déploie bel et bien. Dans un silence total en France, à grand bruit en Italie, pays qui ramasse la mise maximale avec près de 195 milliards d’euros.
La France est constellée de projets financés en partie par le plan national de relance et de résilience (PNRR ou NGEU, son acronyme anglais) : de MaPrimeRenov'(isolation thermique) au bonus écologique (véhicules électriques), en passant par la décarbonation de sites industriels, l’allongement de lignes de tramway, la restauration de cathédrales au nom du tourisme…
Le plan de relance impose aux États de dépenser les 750 milliards d’euros – dont une partie alimente aussi le budget européen – avant 2026. Un défi pour la bureaucratie…
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