Corsair renforce ses liaisons entre l’Hexagone et la Guadeloupe avec l’ouverture d’un vol direct Pointe-à-Pitre/Nantes

Dès le 23 décembre 2025, Corsair proposera une liaison directe entre Pointe-à-Pitre et l’aéroport de Nantes Atlantique. La compagnie aérienne sera la seule à proposer cette desserte.

À partir du 23 décembre 2025 et jusqu’au 28 avril 2026, les Guadeloupéens auront l’opportunité de rejoindre l’ouest de la France grâce à un vol direct opéré chaque mardi. C’est l’annonce faite par la compagnie aérienne Corsair, ce 3 mars.

Pour un vol aller-retour avec bagage, les passagers devront débourser au moins 660 euros, informe la compagnie. 

Selon la direction, cette nouvelle desserte répond à une forte demande des voyageurs ultramarins, qui recherchent des alternatives aux liaisons existantes avec Paris. Après quatre années de connexion entre Nantes et Fort-de-France (Martinique), Corsair ajuste donc son offre pour permettre aux Guadeloupéens de rejoindre directement l’ouest hexagonal.

Avec cette nouvelle route, Corsair devient l’unique opérateur sur l’axe Nantes-Pointe-à-Pitre, à partir du 16 décembre prochain. Le départ sera proposé à 14h20 avec une arrivée en Guadeloupe à 18h05. Le retour s’effectuera à 20h20 pour une arrivée dans l’Hexagone à 9h35 le mercredi matin. 

La compagnie annonce également l’ouverture d’une liaison entre Bordeaux et Fort-de-France à partir du 15 décembre 2025, remplaçant ainsi la précédente ligne vers Pointe-à-Pitre, en place pendant 4 ans.

Le PDG de Corsair, Pascal de Izaguirre, a tenu à souligner l’engagement de l’entreprise.

Corsair a pour ambition de renforcer la connectivité entre l’Hexagone et les territoires ultramarins. Plus qu’un transporteur, la compagnie souhaite jouer un rôle dans le développement économique de ces territoires en facilitant les échanges touristiques, familiaux et économiques.

Pascal de Izaguirre, PDG de Corsair

Corsair met en avant la modernité de sa flotte, composée exclusivement d’Airbus A330neo, d’une moyenne d’âge de deux ans, sur l’ensemble de ses destinations. Selon la compagnie, ces appareils permettent de diminuer de 25 % les émissions de CO₂ par siège et de réduire de 60 % l’empreinte sonore.


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