Côte d’Ivoire : Yopougon, le présumé meurtrier de l’artiste du coupé-décalé Vicky Martini interpellé ?

Interpellation d’un suspect clé dans le meurtre de Vicky Martini (Ph KOACI)

Ce lundi 22 avril 2024, comme nous le rapportions dans un précédent article, une aura de choc et de consternation a enveloppé le quartier Koweït de Yopougon suite à une macabre découverte du corps sans vie de l’artiste du coupé-décalé Vicky Martini.

En effet, les résidents du quartier de Yopougon Koweït se sont réveillés pour découvrir le corps sans vie de la talentueuse danseuse et chanteuse de coupé-décalé, Vicky Martini. Les détails troublants du crime ont secoué les riverains et ont incité la police à agir avec célérité pour mettre fin à cette tragédie.

Le maquis où le corps de la défunte a été découvert est devenu le théâtre d’une enquête intense menée par le commissariat de Police du 19e arrondissement de Yopougon.

Les témoins sur place ont rapporté les circonstances troublantes entourant le décès de la tenancière du maquis de la défunte dont le meurtre aurait été commis dans la nuit du dimanche 21 au lundi 22 avril 2024.

Dans une avancée cruciale pour l’enquête, KOACI apprend de sources sécuritaires l’arrestation d’un suspect clé dans cette affaire déchirante. Le nommé K.K.E, âgé de 18 ans, a été appréhendé par les forces de l’ordre et mis à la disposition du département de la police criminelle pour approfondir les investigations.

Cette arrestation marque un tournant significatif dans la quête de justice pour Vicky Martini et pour les habitants de Yopougon Koweït.

Alors que l’enquête se poursuit, les autorités s’efforcent de démêler les fils complexes de cette affaire et de faire la lumière sur les circonstances exactes ayant conduit à ce tragique événement.

Les habitants du quartier et les proches de la victime ont exprimé leur soulagement face à l’avancée de l’enquête, tout en appelant à une résolution rapide et équitable de cette affaire.

L’arrestation du présumé meurtrier représente un premier pas vers la résolution de ce crime odieux. Cependant, le chemin vers la vérité et la justice est encore long.

Jean Chresus, Abidjan