Dopage mécanique : « La technologie existe, on sait qu’il y a des mécanos de l’ombre qui se consacrent à ça »

Vous avez été nommé responsable de la lutte contre la fraude technologique à l’UCI en avril 2024, à la place de l’ancien cycliste Michael Rogers. Vous avez un profil très différent…

J’ai d’abord été enquêteur criminel au sein du département de la Sécurité intérieure des États-Unis. J’ai enquêté sur le terrorisme, le blanchiment d’argent, la contrebande, ou certains crimes informatiques. Puis j’ai rejoint la lutte pour l’intégrité du sport. J’ai travaillé à la FIFA puis à l’UEFA pour diriger l’unité de lutte contre les matchs truqués. J’ai aussi fait du conseil indépendant, avant de devenir responsable du renseignement et des investigations à l’ITA (Agence internationale de contrôle antidopage). C’est à ce moment-là que j’ai commencé à collaborer avec l’UCI et j’ai eu une belle opportunité de rejoindre l’UCI.

Crédit: Lien source

Laisser un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée.