Exclu. “Je n’y serais jamais allée !” : sans cette condition, Dominique Tapie n’aurait jamais accepté Les Traîtres !
INTERVIEW. Dominique Tapie est au casting de la saison 4 des Traîtres sur M6. En exclusivité pour TV Actu, elle nous a parlé de son aventure et nous a dévoilé la condition sans laquelle elle n’aurait jamais accepté de participer au programme.
Dominique Tapie fait partie des 20 candidats de la saison 4 des Traîtres, lancée le jeudi 3 avril 2025 sur M6. Une expérience dans laquelle on ne l’attendait pas mais qui lui a permis de se révéler. Au sein du domaine de Bournel, le nouveau château de cette édition 2025, la doyenne de l’aventure va se montrer redoutable avec ses adversaires. En exclusivité pour TV Actu, la veuve de Bernard Tapie s’est livrée en interview sur son ressenti et ce qui l’a poussée à accepter d’apparaître à l’écran dans un jeu télévisé.
TV Actu : On ne s’attendait pas à vous voir au casting d’une émission comme Les Traîtres. Pourquoi avoir accepté ?
Dominique Tapie : J’en suis consciente. C’est surtout ma fille, Sophie Tapie, qui m’a entraînée dans l’aventure en me disant que ça pouvait être de bons souvenirs pour plus tard. J’ai aussi accepté parce qu’on représentait des associations. Sophie jouait pour la SPA et moi pour la Fondation Bardot. Il y avait également l’idée de passer huit jours en autarcie totale avec elle, ça ne nous était pas arrivé depuis qu’elle avait 14-15 ans.
Connaissiez-vous le programme ?
Pas du tout. Quand elle m’en a parlé, elle m’a expliqué qu’il s’agissait d’une émission de type téléréalité et je n’étais pas emballée, je ne regarde jamais. J’ai visionné la saison dans laquelle il y avait Laurent Ruquier et je me suis dit que ça pouvait être amusant. En revanche seule, je n’y serais jamais allée.
Avez-vous une âme de stratège ?
Absolument pas. Dans la vie de tous les jours, je suis très franche. Ce n’est pas dans ma nature. C’est pour ça que je voulais absolument être loyale.
Comment avez-vous été accueillie par les autres candidats ? En connaissiez-vous certains ?
Non, sauf des gens de ma génération comme Francis Huster et Liane Foly. Je connaissais aussi Anthony Colette de vue car une fois ou deux j’ai zappé et je l’ai vu danser. Les influenceurs, les rappeurs, les mannequins, je ne les aurais jamais rencontrés dans mon quotidien. L’ambiance était bonne enfant. Plus les jours avançaient et plus c’était à couteau tiré, suspicieux, on se prenait la tête mais c’est normal, c’était le but.
Qu’avez-vous pensé du nouveau château de cette saison ?
Il est magnifique ! On a eu la chance de rencontrer les propriétaires, qui sont un jeune couple et qui attendaient leur quatrième enfant. J’ai trouvé ça formidable parce que ce sont des parisiens qui, lors du confinement, sont retournés dans le château familial et ont décidé de rester là-bas. La région Franche-Comté était aussi magnifique, on est allés dans des presbytères ou encore une base militaire qui a servi à l’OTAN. On a pu entrer dans des lieux improbables !
Quelle personnalité vous a le plus marquée ?
Je suis très contente d’avoir rencontré Anthony Colette parce qu’on a la danse en commun. J’ai découvert aussi Francis Huster, que j’avais déjà vu avec mon mari, comme étant quelqu’un de sensible et de très humain. C’est un écorché vif ! J’ai également adoré Alizé Cornet, c’est une fille droite, saine et sportive. Elle a toutes les valeurs que j’aime !
Quelles qualités faut-il avoir pour participer aux Traîtres ?
Il faut rester soi-même. Être un peu sûr de soi, ne pas être trop influençable et ne surtout pas se prendre la tête.
Après Les Traîtres, va-t-on vous revoir dans une autre émission télé ?
Non. C’était vraiment une aventure à tenter avec ma fille et puis c’est tout.
Crédit: Lien source