J’ai vu la voiture électrique Xiaomi à Paris ! C’est un bijou de technologie qui n’a rien à envier à Tesla et compagnie

News JVTech J’ai vu la voiture électrique Xiaomi à Paris ! C’est un bijou de technologie qui n’a rien à envier à Tesla et compagnie

Tout l’écosystème Xiaomi est de passage à Paris

C’est au plein cœur de Paris, que j’ai eu le plaisir, ce mardi matin, de découvrir l’exposition CHUANMEN de Xiaomi. La marque chinoise, réputée pour ses smartphones et objets connectés, nous promettait une expérience immersive au cœur de son écosystème Human x Car x Home, « où la technologie s’intègre harmonieusement dans le quotidien pour l’augmenter à chaque instant ».

Dès mon arrivée dans la rue Bailly, mes yeux ont pu se poser, à deux reprises, sur la star de l’exposition : la Xiaomi SU7 (pour faire monter le suspense, je vous en parlerai un peu plus bas). Par ailleurs, en déambulant dans les galeries Jospeh, j’ai pu observer toute l’étendue de l’écosystème Xiaomi à travers diverses expériences prenant la forme de plusieurs « pièces de vie » : bureau, salon, coin sport, chambre bébé ou encore atelier de poterie.

Dans ces mini-expériences, les nombreux objets connectés s’illustrent en se connectant les uns aux autres avec des interactions simples. Je pense par exemple à l’envoi d’une photo d’un smartphone à un ordinateur portable qui se fait simplement par le dépôt du portable sur le pad du PC. Autre exemple, le tapis de course qui s’active progressivement lorsque l’on programme une séance via sa montre connectée. Bref, vous l’aurez compris, Xiaomi a mis les petits plats dans les grands pour cette semaine parisienne. Malheureusement et comme c’est souvent le cas avec la marque chinoise, la plupart des objets connectés aperçus au cours de ces multiples expériences ne sont pas encore disponibles en France.

Xiaomi SU7 : une voiture électrique qui en met plein les yeux

Comme je vous l’expliquais plus haut, la star de l’exposition n’est autre que la Xiaomi SU7, une berline électrique ultra-connectée qui s’inscrit parfaitement dans l’écosystème Xiaomi grâce à HyperOs. En effet, et même si je n’ai pas eu la chance de la conduire ou d’assister à une démonstration sur route, j’ai pu constater en montant dedans, à l’arrêt, que les technologies embarquées sont nombreuses. En m’installant au côté d’une employée de Xiaomi, j’ai pu assister à la présentation d’une flopée de commandes vocales (en chinois) et manuelles démontrant l’étendue des possibilités du véhicule.

Grâce à HyperOs, j’ai compris que le tableau de bord de la SU7 devenait un véritable smartphone capable de lancer n’importe quelle application allant de Genshin Impact à YouTube Music en passant par TikTok. Mais même sans téléphone connecté, le système d’infotainment est ultra-complet. Comme beaucoup de voitures électriques, il est par exemple possible d’avoir un aperçu général du véhicule en vue externe, nous permettant d’ouvrir le coffre avant, le coffre arrière, la trappe de chargement ou encore de verrouiller les portières.

Globalement, l’écran horizontal m’a vaguement rappelé celui de la Tesla Model 3. Il offre une ergonomie intuitive avec des petites icônes d’application qui ne sont pas sans ressemblances avec celles de l’iPhone. J’ai aussi été agréablement surpris par l’interface qui donne accès à une multitude de fonctionnalités : jeux, navigation, contrôle de la climatisation etc. Tout est à portée de main, pour une expérience utilisateur des plus agréables.

Pour ce qui est de l’instrumentation numérique, de ce que j’ai pu voir, elle affiche les informations essentielles telles que la vitesse, la consommation et le mode de conduite. Pour le passage des vitesses et la sélection des modes de conduite, tout semble s’effectuer via le commodo de droite et le bouton intégré au volant. Côté rangement, la SU7 ne m’a clairement pas déçu ; on a à notre disposition des porte-gobelets, des chargeurs à induction, une boîte à gants spacieuse et même un petit frigo à l’arrière. Enfin, j’aurais aimé pouvoir vous dire que la jolie berline arrive bientôt en France, mais malheureusement cela ne semble pas être dans les petits papiers de Xiaomi qui attend, dans un premier temps, qu’elle fasse ses preuves en Chine avant de la lancer à l’échelle mondiale.