Jonathan Ramssamy est originaire de Port-Louis en Guadeloupe. Pilote de ligne sur Boeing 737, il a obtenu sa certification en 2021. Aujourd’hui, il vit à Toronto capitale de la province de l’Ontario au Canada, où vivent près de10 millions d’habitants. Mais la Guadeloupe n’est jamais loin dans le coeur de Jonathan.
Toronto, la capitale de la province de l’Ontario est l’une des principales villes du Canada. Située sur la rive nord-ouest du lac Ontario, c’est un centre international des affaires, de la finance, des arts et de la culture, de production cinématographique et audiovisuelle.
La ville abrite la bourse de Toronto, le siège des cinq plus grandes banques du Canada et de nombreuses autres grandes sociétés canadiennes et multinationales, de tous les secteurs économiques.
Près de 10 millions d’habitants vivent à Toronto et parmi ceux là, un Guadelopéen, Jonathan Ramssamy. Ses grands-parents et sa famille sont de Port-Louis. C’est là qu’il passe son enfance et sa scolarité jusqu’à son départ pour Paris où va faire des études de Génie biologique à l’université Paris XII. Mais ce qui l’a toujours motivé depuis ses quatre ans ce sont les avions. Au sortir de ses études il décide donc de bifurquer vers le ciel et entreprend une formation de pilote de ligne à Montreal au Quebec.
Ce n’était pas la biologie que me donnait des étoiles dans les yeux, ma vraie passion c’était l’aviation.
Jonathan Ramssamy, pilote de ligne
Et il se lance dans la formation. Il obtient tous ses certificats en 2021 et commence le long courrier à destination des Etats-Unis, de l’Europe, de la Caraïbe et même du Pacifique.
Pour devenir pilote de ligne, il faut la passion. Pour moi, à chaque décollage, à chaque atterrissage, c’est la même émotion que la première fois.
Il vit maintenant au Canada depuis plus de 12 ans et petit détail rigolo, il a pris l’accent… québecquois ! Mais il adore Toronto.
C’est une ville très cosmopolite, très vivante. Elle vit jour et nuit et puis on trouve du fruit à pain aussi.
Bien sûr Jonathan, revient de temps en temps à Port-Louis en Guadeloupe, pour voir sa famille. Même s’il ne reste jamais longtemps, il aime revoir son péyi et entendre parler créole. Ce samedi, 22 mars, il sera aux commandes de son avion de ligne à destination de la Grenade.
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