La 12e édition du festival international de musique Afrobeat lancée

Le top départ de la 12e édition du festival international de musique Afrobeat a été  donné, le vendredi 19 avril 2024, à Tampouy, un  quartier situé au Nord de la ville de Ouagadougou. Cette édition se tient sous le thème «Éclosion à travers la diversité et la découverte des jeunes talents développant une pratique musicale innovante en explorant les frontières du numérique dans leur processus de création ou de diffusion».

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C’est parti pour le festival Afrobeat. Quatre  jours durant, Tampouy va vibrer au rythme de la musique Afrobeat. Plusieurs activités sont donc au programme pour le bonheur des amoureux de la musique. Des Concerts live, des  rencontres B to B, des activités de développement communautaire vont entre autres meubler  l’événement.

Une quinzaine d’artistes venus de  divers horizons pour le plus grand plaisir des mélomanes de l’Afrobeat sont attendus sur scène. Cette édition se veut innovante, selon Jean Marie Nabi dit Zopito, directeur du festival.

Jean Marie Nabi dit Zopito, directeur du festival

«Pour ce qui est des innovations on peut citer la soirée éclosion (…) qui a été dédiée exclusivement aux artistes, aux jeunes talents venus du continent. L’idée étant de les détecter et de les introduire dans un réseau de professionnels afin qu’ils puissent développer au mieux leur carrière. (…) au delà de la soirée éclosion, dans la configuration actuelle du site vous avez dû constater les améliorations techniques que nous avons apportées. Nous avons convié des jeunes porteurs de projet dans le domaine du digital afin qu’ils puissent partager leur idée de projet avec l’assistance, avec les professionnels», a-t-il expliqué.

Pour Youssef Ouédraogo, représentant du parrain, l’ancien ministre Harouna Kaboré, ce festival doit être logé dans les anales de la musique burkinabè .

Le représentant du parrain, Youssef Ouédraogo
Le représentant du parrain, Youssef Ouédraogo

«Un évènement s’apprécie par rapport à sa longévité. Dans l’évènementiel, une décennie n’est pas permise à n’importe quel festival. Pour moi c’est un festival qui doit être logé dans les anales de la musique burkinabè de façon générale et qui a besoin d’être soutenu», a-t-il terminé.

Phalek PARDEVAN (Stagiaire)

Burkina 24

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