La High-Tech au secours de la biodiversité (Arte)

L’ADN : un outil précieux

En Corse, la biologiste Alicia Dalongeville, équipée d’un prototype de pompe, explore les fonds marins à la recherche d’ADN environnemental. Sa mission ? Prélever des traces génétiques des espèces méconnues ou menacées. Parmi elles : l’ange de mer, un requin aux allures de raie, en voie de disparition. La moindre particule suffirait à prouver la présence de ce squale en Méditerranée.

À lire également

Pourquoi mon chat me suit partout ? La chronique de la vétérinaire Laëtitia Barlerin

Touche pas à mes palmes !

Les éoliennes sont l’ennemi juré des volatiles. Outre-Rhin, un système de pointe combinant caméras et intelligence artificielle est sur le point d’être appliqué pour tenter de réduire la collision mortelle d’oiseaux avec ces moulins géants.

S.O.S. girafes en détresse

Au Kenya, le braconnage et la sécheresse ont entraîné le déclin des girafes. L’ingénieure informatique Tanya Berger-Wolf, de l’Ohio, a développé un logiciel qui s’appuie sur des photos pour inventorier et protéger les mammifères.

À lire également

Les Derniers Secrets de l’humanité (France 2) – « L’homme préhistorique était Loin d’être une brute épaisse »

L’Internet des animaux

« C’est un vrai bijou technologique fiable et unique au monde», assure Martin Wikelski. En Allemagne, ce professeur a développé une puce permettant de suivre la migration des animaux du monde entier et d’évaluer leur habitat. Ce tag mobile, implanté dans l’oreille, est équipé d’une balise solaire et d’une antenne capable d’émettre un signal jusqu’à 280 km à la ronde. Les données, transmises sur la plateforme de big data Movebank, répertorient à ce jour 6 milliards de points GPS, issus de 35000 animaux.

La High-Tech au secours de la biodiversit…

Lire la suite sur Télé 7 Jours

A lire aussi

Crédit: Lien source

Les commentaires sont fermés.