la mort de son frère sous ses yeux, ce drame qui l’a profondément marqué

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En 1971, Dominique de Villepin, qui pourrait faire son grand retour en politique, a assisté impuissant à la disparition de son frère Éric, âgé de 19 ans. Une tragédie qui l’a marquée toute sa vie.

Un drame qui a profondément marqué sa vie. Dominique de Villepin, présent pendant plusieurs années dans les hautes sphères de la politique, pourrait bien faire son grand retour sur le devant de la scène en vue de l’élection présidentielle de 2027. À cette occasion, Marianne  a consacré un dossier sur l’ancien Premier ministre sous Jacques Chirac. Dans ses colonnes, le journal revient sur une terrible épreuve qu’a vécue Dominique de Villepin. S’il est témoin de la mort de son grand-père François de Villepin en 1972 suite à « une attaque qui lui paralyse le côté gauche », l’année précédente, « en 1971, son frère Éric, 19 ans, était mort sous ses yeux d’une crise cardiaque dans sa baignoire  ».

Ce jour-là, son frère aîné, épileptique, perd la vie au retour d’une sortie en mer avec lui. Dominique de Villepin, âgé de 18 ans à l’époque, a tenté de le réanimer mais, en vain. Dans les colonnes de Gala en 2012, il avait souligné qu’il avait « été avec lui jusqu’au bout ». De son frère, il a retenu de nombreuses valeurs et des souvenirs précieux. « Je me souviens d’être rentré aux États-Unis pour l’aider à préparer son bac, racontait-il. Il m’a appris l’humilité et à ne pas avoir peur. J’ai vu ce que c’était que de se battre à armes inégales. Tout est plus simple après, car on rentre dans la vie dépouillée de beaucoup de choses inutiles. » Une épreuve qui forge le caractère.

Dominique de Villepin : comment la maladie de son frère l’a façonné ?

Suite à la mort de son frère, Dominique de Villepin a transformé sa vie en commençant par « vivre intensément ». « Ça m’a rendu moins vulnérable aux attaques et a renforcé mon esprit d’indépendance », confiait-il auprès de Gala. Il a également expliqué que « l’épreuve de la maladie d’un frère, c’est l’épreuve de la solitude  ». « La maladie vous isole et crée l’incompréhension, ajoutait-il. Il faut apprendre à vivre en étant moqué, savoir ne pas avoir honte de ceux qu’on aime ». C’est d’ailleurs « la première leçon » qu’il a apprise à ses trois enfants, Marie, Arthur et Victoire.

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