la société de dirigeables Flying Whales renforce son partenariat avec la Côte d’Ivoire

« Ce séminaire fait suite à l’accord signé en janvier 2024 entre le ministère des Transports de Côte d’Ivoire et Flying Whales, lors du forum Invest in Bouaké. Cet accord vise à établir un réseau aérien innovant utilisant des dirigeables de grandes capacités pour décarboner le transport aérien de fret en Côte d’Ivoire et dans la sous-région. La Côte d’Ivoire, en tant que pays pionnier de cette technologie en Afrique, s’impose ainsi comme un leader dans le déploiement de politiques de développement durable et la lutte contre le changement climatique », indique Flying Whales dans un communiqué, évoquant également « la mise en place d’un réseau reliant 22 pays africains grâce à une flotte de 160 dirigeables ».

Accord de coopération

Lors de ce séminaire, et pour appuyer son discours, Flying Whales a détaillé une étude, menée avec le ministère des Transports, sur l’impact de la technologie développée par la société de dirigeables dans plusieurs secteurs de l’économie. « Les estimations prévoient que l’introduction de dirigeables contribuera à un gain de 6,25 % à 8,45 % du PIB actuel de la Côte d’Ivoire », veut croire Flying Whales, qui a signé un premier accord de coopération avec le Port autonome de San Pedro, au sud-ouest du pays.


Lors du séminaire en Côte d’Ivoire.

Flying Whales

« Plus globalement, en continuité de la collaboration entamée en 2024, l’État ivoirien et Flying Whales travaillent à la signature d’un partenariat public privé, de conception et d’exécution. Objectif : la mise en place du projet pilote de Flying Whales en Afrique, avec l’implémentation en Côte d’Ivoire de la première base de dirigeable, faisant du pays le précurseur du développement des réseaux de dirigeables sur le continent. »

Projet en Guyane

Flying Whales a également récemment obtenu un vote favorable du Conseil municipal de Macouria (Guyane) pour son projet d’implantation d’une base opérationnelle pour le dirigeable LCA60T, un ballon rigide pour le transport de charges lourdes, d’une capacité d’emport de 60 tonnes. « Le LCA60T apportera à la Guyane un nouvel outil de désenclavement en connectant toutes les populations du territoire, tout en répondant aux défis de la décarbonation du transport, un enjeu clé pour cette région amazonienne. »

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