L’ANAPA plaide pour la fluidité du transport des produits agro-pastoraux

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Les membres de l’Association nationale de promotion de l’agroalimentaire (ANAPA) se sont réunis le vendredi 28 février 2025 à Ouagadougou pour présenter officiellement l’association et lancer l’opération de fluidification du transport des produits agro-pastoraux. 

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L’Association nationale de promotion de l’agroalimentaire a été créée pour répondre aux défis rencontrés par les filières agroalimentaires. Le lancement des activités de l’ANAPA a été marqué par un atelier réunissant les acteurs de la filière et par le lancement de l’opération de fluidification du transport des produits agro-pastoraux.

Lassané Sawadogo, président de l'ANAPA
Lassané Sawadogo, président de l’ANAPA,

Selon Lassané Sawadogo, président de l’ANAPA, l’atelier vise plusieurs objectifs spécifiques : présenter le cadre institutionnel et réglementaire de l’ANAPA aux acteurs du secteur agroalimentaire, exposer les activités et les axes d’intervention de l’association, détailler les documents exigés aux postes de douane et de contrôle des eaux et forêts, et présenter la réglementation municipale en matière de stationnement.

« Il y a eu beaucoup de trucs sur la route. L’objectif c’est pour aider nos collaborateurs, nos membres et nos acteurs qui sont sur le terrain qui circulent tous les jours par rapport aux tracasseries routières. Et nous voulons que l’État nous soutienne et qu’il nous aide pour que la fiabilité de la chose soit sur le terrain », a-t-il justifié.

Florent Ouédraogo, de la direction de la police des frontières et point focal de l'ANAPA
Florent Ouédraogo, de la direction de la police des frontières et point focal de l’ANAPA

Pour aider les acteurs à comprendre les enjeux de la fluidification du transport, l’ANAPA a bénéficié du soutien de la Police, de la Gendarmerie, des Douanes et des Eaux et Forêts. Florent Ouédraogo, de la direction de la police des frontières et point focal de l’ANAPA, a expliqué aux participants les documents nécessaires pour faciliter le transport.

« On leur a montré les documents qu’il faut à savoir les gros porteurs, les petits véhicules. Généralement comme eux ce sont des transporteurs de marchandise nous on a essayer de leur montrer les différents documents à savoir la carte grise, l’assurance et la visite technique pour permettre qu’au niveau des postes de contrôle qu’il n’y a pas de problème », a-t-il indiqué.

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Aminata Catherine SANOU

Burkina 24

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