Ce 17 mai, c’est la Journée internationale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie. Au Ghana, le Parlement a voté en février dernier une loi – pas encore ratifiée – exposant les personnes s’identifiant comme LGBT à une peine de 3 ans de prison. L’artiste ghanéen Wanlov the Kubolor estime que « la pauvreté actuelle, le manque d’éducation et le manque d’opportunités ont rendu le Ghanéen moyen plus en colère et plus enclin à la haine ».
Ce vendredi 17 mai est la Journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie. Sur le continent africain, pas moins de 31 pays criminalisent les relations sexuelles entre personnes de même sexe. La Mauritanie et l’Ouganda prévoient même la peine de mort. La tendance est aujourd’hui à un durcissement des législations anti-LGBT dans de nombreux pays africains, selon Amnesty International.
Comme au Ghana, où le Parlement a voté en février dernier une loi – pas encore ratifiée – exposant les personnes s’identifiant comme LGBT à une peine de trois ans de prison. L’artiste ghanéen Wanlov the Kubolor témoigne de l’ampleur des discriminations subies par les personnes homosexuelles dans son pays aujourd’hui.
« Le fait d’être LGBT est considéré comme un péché »
À lire aussiGhana: la loi anti-LGBTQ au début d’un processus judiciaire
Lire la suite sur RFI
Crédit: Lien source
Les commentaires sont fermés.