Mondiale 2030: l’Amérique du Sud veut une édition à 64 équipes Amérique du Sud On Avr 11, 2025 Share Mondial 2030 de football – L’Amérique du Sud souhaite une édition à 64 équipes La Confédération sud-américaine a exprimé sa volonté de recevoir plus de matches sur son territoire, lors du tournoi qui se déroulera principalement en Espagne, au Maroc et au Portugal. Publié: 11.04.2025, 14h56Mis à jour: 11.04.2025, 15h06 Le président de la Conmebol, le Paraguayen Alejandro Dominguez, tient une réplique de la Coupe du monde de la FIFA alors qu’il célèbre la ratification de l’Argentine, du Paraguay et de l’Uruguay en tant que pays hôtes de la Coupe du monde de la FIFA 2030 en décembre 2024. AFP Abonnez-vous dès maintenant et profitez de la fonction de lecture audio. BotTalk Le président de la Confédération sud-américaine (Conmebol), Alejandro Dominguez, a plaidé officiellement en faveur d’une Coupe du monde à 64 sélections en 2030. Cette édition du centenaire est prévue sur trois continents. Ce Mondial 2030 aura principalement lieu en Espagne, au Maroc et au Portugal. Mais, pour le centenaire de la première édition en Uruguay, trois rencontres sont aussi prévues dans ce pays, ainsi qu’en Argentine et au Paraguay. L’événement planétaire, qui a connu une inflation continue du nombre de participants au fil des éditions, doit passer de 32 à 48 sélections à l’occasion du prochain Mondial, en 2026, aux États-Unis, au Canada et au Mexique. «Nous proposons, pour une seule fois, de porter l’édition du centenaire à 64 sélections, sur trois continents, en simultané, pour que tous les pays puissent vivre l’expérience d’un Mondial», a déclaré Alejandro Dominguez, à l’occasion du 80e congrès de la Conmebol. Cet élargissement pourrait permettre à l’Amérique du Sud d’accueillir en 2030 non pas trois matches, mais l’ensemble du premier tour d’une des poules. L’idée avait déjà été avancée le mois dernier par le patron de la Fédération uruguayenne, Ignacio Alonso, lors d’un conseil de la Fédération internationale (FIFA). La FIFA de Gianni Infantino s’était bornée à évoquer une proposition «spontanée», qu’elle avait le «devoir» d’«analyser». Le patron de la Fédération européenne (UEFA), Aleksander Ceferin, a estimé le 3 avril qu’il s’agissait d’une «mauvaise idée». ATS Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler. 2 commentaires Crédit: Lien source Share