Parmi les vice-Présidents élus vendredi à l’Assemblée nationale française, un nom a surtout retenu l’attention des congolais de France, celui de Nadège Abomangoli. Son élection comme députée les avait rendu fiers, son arrivée à l’une des vice-Présidence de l’institution, sublime cette fierté des congolais de France et ceux vivant au pays de ses ancêtres.
Nadège Abomangoli est née le 15 septembre 1975 à Brazzaville. Elle est une femme politique française de gauche, membre de la France insoumise.
Député de Seine-Saint-Denis, elle est désormais vice-Présidente de l’Assemblée nationale.
Fidèle à sa tradition d’honorer ceux et celles qui illuminent l’histoire congolais en marquant sa légende, Ouabari Mariotti a rédigé pour elle l’éloge que voici.
« Elle a honoré le Congo Brazzaville,
Le Pays de ses ancêtres.
Terre des légendes et des lumières
Honneur à Elle-même.
Elle, c’est la Franco-Congolaise, Mme Nadège Abomangoli qui vient d’être choisie, le 19 juillet 2024, Vice-Présidente de l’Assemblée Nationale Française, au même titre que Mme Clemence Guetté.
Fille du Congolais Paul Abomangoli, Membre du Secrétariat National de l’UPADS, Mme Nadège Abomangoli a été élue, aux dernières élections législatives françaises, Député, sur la liste du Nouveau Front Populaire.
Grande Dame, Femme politique de convictions, très rationnelle, à l’esprit pragmatique, Mme Nadège Abomangoli est très attachée aux valeurs de la République. Une humaniste, au cœur qui balance fort pour les idées de gauche. D’où sa remarquable humilité, sa fraternelle ouverture et son penchant pour les électeurs de sa circonscription électorale.
Que Mme Nadège Abomangoli, modèle de ces lumières que renferme le Congo Brazzaville, trouve ici l’expression de mes sincères félicitations. Bons vents illimités à Elle, dans sa vie personnelle et au cours de son mandat parlementaire. »
Née à Brazzaville, Nadège Abomangoli a grandi à Épinay-sur-Seine. Elle s’engage à SOS Racisme avant d’adhérer au Parti socialiste en 2006. Elle est diplômée de l’institut politique de Paris.
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville
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