Olivier Bergeron toujours dans l’aventure d’American Idol

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Après avoir obtenu son laissez-passer (Golden Ticket) pour se rendre à Hollywood, Olivier Bergeron en est à l’étape de «Showstoppers» du concours American Idol. Cette dernière sera diffusée les 6 et 7 avril, dès 21h, à l’antenne de ABC.

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Tout en laissant entendre qu’il ne se crée pas d’attentes, le jeune homme de Kedgwick affirme profiter au maximum de chaque moment et être extrêmement reconnaissant.

Selon Olivier Bergeron, sa participation aux auditions d’American Idol découle d’une invitation…

«J’ai reçu un message dans lequel on m’invitait à me présenter aux auditions. Au début, je croyais qu’il s’agissait d’une farce. Après avoir demandé pour obtenir plus de renseignements, j’ai réalisé que c’était bien réel.»

«Puisque tout était terminé pour cette édition, on m’a invité à tenter ma chance cette année. J’ai participé à des rencontres en ligne et mon producteur m’a annoncé que j’avais été sélectionné pour aller chanter devant les juges, à New York. Ma famille et moi avons passé une semaine là-bas», raconte-t-il.

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Avant d’interpréter «Save Me» (Jelly Roll) devant Lionel Richie, Luke Bryan et Carrie Underwood ainsi que d’obtenir son billet doré pour se rendre à Hollywood, Olivier Bergeron que le niveau de stress était élevé.

«J’étais vraiment stressé, mais je ne voulais pas me créer d’attentes pour éviter d’être déçu. Quand j’ai reçu mon laissez-passer pour Hollywood, j’étais excité et reconnaissant.»

«À Hollywood, nous étions environ 144 et je fais partie de fait partie de ceux qui passent à l’étape suivante», poursuit-il.

Par ailleurs, Olivier Bergeron admet que le stress s’est fait sentir énormément lors de l’étape suivante.

«Nous étions tous dans la salle et personne ne savait l’ordre dans lequel nous allions chanter. J’ai passé près de trois jours à attendre, car j’étais le dernier. Après avoir entendu tout le monde et vu tout ce talent, le stress était à son maximum», poursuit-il, en rappelant avoir interprété «Say Something».

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Parmi les défis supplémentaires que doit relever Olivier Bergeron, on compte la barrière de la langue.

«Je ne parlais pas anglais, mais j’ai dû apprendre. Séjourner à Hollywood m’a beaucoup aidé et je vois que pour apprendre l’anglais, il faut vivre en anglais et ne pas avoir le choix.»

Heureux et fier d’avoir la chance de vivre une expérience de l’envergure d’American Idol, Olivier Bergeron affirme que jamais il n’aurait quelque chose du genre puisse lui arriver.

«Je ressens énormément de gratitude et je travaillerai fort pour me rendre jusqu’au bout. J’ai hâte que les gens voient la suite. La prochaine étape sera une prestation devant public et je serai accompagné de musiciens.»

Chose certaine, le passage d’Olivier Bergeron à Star Académie lui aura permis de s’outiller et de se préparer à l’aventure qu’il vit aux États-Unis.

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«Star Académie m’a permis d’acquérir beaucoup d’expérience, notamment d’être à l’aise devant les caméras, les juges, etc. Ç’a été comme une école et aujourd’hui, j’ai la chance de vivre quelque chose aux États-Unis. Mon séjour à Star Académie me suivra toujours.»

Chose certaine, Olivier Bergeron est emballé par la réaction des gens.

«Je vois l’impact d’American Idol et ça fait du bien après une longue pause. C’est plaisant de voir que les gens ne m’ont pas oublié.»

En terminant, le jeune auteur-compositeur-interprète de Kedgwick incite les gens à croire en leurs rêves et à foncer.

«Je ne parlais pas du tout anglais et je me suis rendu dans un marché anglophone pour aller chanter devant les juges d’American Idol, ce qui est quand même spécial», conclut-il.

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