La SMO gymnastique organisait jusqu’ici son gala de fin de saison à la salle Eva-Serrano : salle dont la capacité réduite l’obligeait à limiter le nombre des entrées.
Ayant pu disposer cette année du palais des sports, le club n’a eu aucun mal à faire le plein : « Il y a quelques jours, on avait déjà huit cents entrées payantes », se réjouissait Sylvain Voitèque, son directeur.
La SMO Gym ne compte, il est vrai, pas moins de sept cents licenciés. Les uns pratiquent en compétition la gym artistique féminine ou masculine, ou encore la gym rythmique, les autres sections (aquagym, gym forme-loisir, gym plus, free style gym) concernant les amateurs.
Plus de cinquante bénévoles
Le gala, samedi après-midi, avait bien sûr retenu le thème des Jeux olympiques, ce, d’autant que l’une de ses gymnastes, Aïnhoa Dot-Espinosa, est qualifiée pour Paris 2024 : « Pour le club, c’est un très bel exemple : elle a commencé chez nous en baby-gym ! », note le président, Olivier Pinault.
Légitime fierté. Mais qui ne faisait pas perdre aux organisateurs du gala le petit brin de fantaisie et d’humour qui répand la bonne humeur…
La première partie du gala mettait en scène, de manière très enlevée, l’arrivée dans différents pays : premières notes de La Marseillaise , suivies de La Foule, d’Edith Piaf, et tenue bleu-blanc-rouge pour les gymnastes évoquant la France ; ou acrobaties ponctuées de quelques pas de sirtaki pour la Grèce ; et flash-mob pour clore la séquence, face à un public conquis.
Du côté des plus de cinquante bénévoles ayant participé à l’organisation et à la tenue du gala, d’une durée d’environ trois heures, on imagine sans mal que l’affaire ne fut pas de tout repos. Mais reste que tous peuvent être fiers tant de sa bonne organisation que de sa fréquentation !
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