Dominique Boutonnat, ancien président du CNC, vient d’être condamné par le tribunal de Nanterre à trois ans de prison pour avoir agressé, en 2020, son filleul de 21 ans (il en avait 52). Les faits s’étaient déroulés dans la villa grecque du patron, bordée d’une piscine : un lieu paradisiaque, qui s’est rapidement transformé en enfer pour la victime.
Dominique Boutonnat condamné pour agression sexuelle
Le monde du cinéma et de la culture française est secoué depuis plusieurs mois par un (nouveau) scandale. Dominique Boutonnat, ancien président du Centre National du Cinéma (CNC), est accusé d’agression sexuelle par son propre filleul. Les faits se seraient déroulés en Grèce, à l’été 2020, alors que l’homme de cinéma était âgé de 5à ans, et sa jeune victime, de 21.
Le vendredi 28 juin 2024, au terme d’un procès de plusieurs jours, Dominique Boutonnat a été condamné à 3 ans de prison avec sursis pour agression sexuelle, dont un an ferme, aménagé en un an de prison à domicile, sous bracelet électronique. À l’issue du verdict, Dominique Boutonnat, a réaffirmé son « innocence », expliquant son souhait d’interjeter appel de ce jugement (selon un message envoyé aux agents du CNC). Il a également décidé « de cesser l’exercice » de ses « fonctions à compter d’aujourd’hui » au sein du CNC.
Paris, Londres, Grèce : où l’ancien patron du CNC va-t-il purger sa peine ?
Si toutefois la condamnation de Boutonnat est confirmée en appel, la question se pose : où va-t-il purger sa peine ? L’ancien patron du CNC vit, à l’année, entre Paris et Lire la suite sur Le Journal de la Maison
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