« Tant pis si ma belle-fille le prend mal » : Dominique Tapie très proche des enfants de sa fille Sophie

Bernard Tapie, figure emblématique du paysage médiatique et économique français, a eu quatre enfants issus de deux unions différentes. De son premier mariage avec Michèle Layec sont nés deux enfants. L’aînée, Nathalie Tapie, née en 1968, est restée en retrait de la sphère médiatique et mène une vie discrète. Son frère, Stéphane Tapie, né en 1969, est quant à lui davantage exposé. Producteur et entrepreneur, il a évolué dans le monde des médias et s’est souvent exprimé publiquement pour défendre son père, notamment lors de ses démêlés judiciaires. Très actif sur les réseaux sociaux, Stéphane n’a jamais caché son attachement à la figure paternelle. Avec sa seconde épouse, Dominique Mialet-Damianos, Bernard Tapie a eu deux autres enfants. La plus connue est sans doute Sophie Tapie, née en 1988. Artiste aux multiples facettes, elle s’est fait remarquer en 2012 grâce à sa participation à l’émission The Voice. Depuis, elle poursuit une carrière dans la chanson, avec un style oscillant entre pop et country, tout en cultivant une passion affirmée pour l’équitation. Quelques années avant est né Laurent Tapie, en 1974, plus discret médiatiquement, il s’est davantage investi dans les affaires familiales. Il a notamment été associé à des projets économiques liés à l’héritage de son père, comme la relance de certaines marques ou encore son implication dans la reprise du journal La Provence. 

Ce soir, jeudi 3 avril, M6 diffuse le premier épisode de sa nouvelle saison des Traîtres, toujours présentée par Eric Antoine. Parmi les candidats, on retrouve notamment Sophie Tapie et sa maman Dominique. Cette dernière a accepté de répondre aux questions de nos confrères du magazine Gala et a révélé avoir un lien très fort avec son unique fille et ses petits-enfants. Sur sa relation fusionnelle avec sa petite-dernière, elle a confié : « Sophie… elle a tout (rires). Quand je vois l’émission de M6, je retrouve [la] gestuelle [de Bernard], ses intonations, mais aussi sa force de conviction pour embarquer tout le monde. C’est bluffant ». Dominique Tapie a également reconnu être « une mamie gâteau ». « Laurent a deux enfants qui sont grands aujourd’hui et dont je me suis occupée. Mais là, c’est différent. Est-ce parce que Sophie habite la côte basque et que quand je suis avec eux, j’y suis pleinement pendant des semaines ? Une question d’âge ? Ou parce que – tant pis si ma belle-fille le prend mal – ce sont les enfants de ma fille ? Mais je suis folle de ces deux petits », a avoué la grand-mère de César et d’Héléna.

Une aventure mère-fille

Sa belle-fille, c’est Marie Griessinger Tapie qui a publié en 2024 un livre, baptisé « Tapie, comme Bernard », pour rendre hommage à son cher beau-père. Le pitch ? « Marie a 16 ans lorsqu’elle rencontre Laurent, fils cadet de Bernard Tapie. Des premiers échanges avec celui qui deviendra son beau-père à la naissance d’une grande complicité, Marie immortalise dans son journal les moments partagés, des plus cocasses aux plus graves. Sans fard ni concessions. Avec le recul de trois années de deuil, elle reprend le fil des souvenirs et invite amis fidèles et témoins singuliers à évoquer leur Bernard ou leur Tapie pour tenter avec eux, l’espace d’un instant, de combler le vide laissé par cet homme hors du commun ». 

Dominique Tapie connait donc la femme de son fils depuis belle lurette et cette dernière ne sera sûrement pas offensée par les déclarations de sa belle-mère. D’ailleurs sur sa proximité avec Sophie, sa fille, c’est ce qui l’a poussée à accepter de participer aux Traîtres. « Ecoutez, c’est ma fille Sophie qui m’a proposé de tenter l’aventure avec elle. Je ne connaissais pas Les Traîtres car je ne regarde pas du tout la télévision », a-t-elle expliqué à Gala. Et de détailler : « Elle ma dit : ‘j’habite Biarritz et toi Paris. Quand on se voit, c’est toujours avec les enfants. Ce sera une parenthèse à deux qui va te sortir de tes problèmes’. J’avoue que l’idée de passer huit jours coupée du monde avec Sophie, ça me plaisait bien« .