Un autre regard sur le Covid-19 avec l’auteur Dominique Labbé

Ils ont été qualifiés de « rassuristes« , voire de « complotistes« , « antivax » ou même de « charlatans« , durant la crise du Covid-19. Eux dénoncent au contraire la « chasse aux sorcières » dont ils seraient victimes et se voient comme des défenseurs de la « vérité » et de la « liberté« . Un discours que Dominique Labbé, co-auteur du livre Un Autre Regard sur le Covid-19 (éditions Demi Lune) invité par le collectif GreLive, a pu dérouler devant un auditoire conquis d’avance, le 10 avril 2024 à La Vina, dans le centre-ville de Grenoble.

GreLive invite Dominique Labbé, co-auteur d'un livre sur le Covid

Ex-enseignant et chercheur à l’UGA, Dominique Labbé, co-auteur du livre « Un autre regard sur le Covid-19 », a donné une conférence de présentation sur le sujet, le 10 avril 2024, à La Vina, à Grenoble, à l’invitation du collectif GreLive. © Manuel Pavard – Place Gre’net

Ancien enseignant et chercheur (aujourd’hui retraité) en science politique à l’Université Grenoble Alpes (UGA) – notamment à Sciences Po Grenoble et au laboratoire Pacte -, celui-ci est l’un des vingt auteurs ayant participé à l’écriture de cet ouvrage collectif sur la crise sanitaire. Certains sont connus et considérés comme des figures de cette sphère, à l’image de Laurent Mucchielli, Laurent Toubiana ou Louis Fauché. D’autres beaucoup moins.

Si Dominique Labbé admet quelques rares divergences, tous partagent – comme la dizaine de personnes venues assister à la présentation – une conviction : celle d’avoir assisté à « la destruction de la médecine et son remplacement par une nouvelle religion vaccinale« . Une stratégie qui, « selon les conclusions du Dr Gérard Delépine, a coûté plus de 100 000 vies à la France« , s’insurge le chercheur.

Il reproche notamment aux autorités sanitaires d’avoir « interdit, en droit ou en fait, les traitements qui avaient montré leur efficacité« , à l’instar du traitement ambulatoire précoce décrit dans le livre par les docteurs Éric Ménat et Gérard Maudrux. Dominique Labbé illustre son propos en pointant « la mortalité de la Tunisie, 300 fois supérieure à celle de l’Algérie, qui avait opté pour l’hydroxychloroquine et l’azithromycine« .

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