Selon la cheffe de la délégation de l’UE au Congo, les attributions du nouveau ministère correspondent à un certain nombre de projets que son institution a engagés en République du Congo dont le projet Villes résilientes au cours d’exécution à Nkayi (Bouenza) et à Owando (Cuvette), visant l’assainissement urbain. « C’est un bon projet pilote autour de deux villes, qui est un modèle pour le Congo et pour d’autres pays. D’autres aspects de la discussion ont porté sur la route Brazzaville-Mindouli dont je comprends beaucoup l’intérêt des autorités du Congo à terminer le dernier tronçon. Les équipes de ma délégation sont en contact avec les interlocuteurs aussi bien du côté européen que du côté congolais, pour essayer de trouver une solution adéquate et répondre aux attentes », a expliqué Anne Marchal à la presse.
Selon elle, ce tronçon qui fait déjà l’objet d’une étude actuellement est de très grand intérêt pour la population. Elle a également encouragé ses collaborateurs qui regardent, a-t-elle dit, toutes les options d’autant plus que beaucoup d’opérateurs doivent être mobilisés. « Nous devons voir comment mobiliser les fonds et comment trouver aussi la bonne volonté des opérateurs pour veulent réaliser les travaux » a poursuivi Anne Marchal.
Juste Désiré Mondelé et son hôte ont, par ailleurs, discuté des autres projets d’infrastructures que l’UE est active dans le cadre du global Gateway. « Nous avons une offre adaptée aux besoins Congo. Nous sommes actifs à Pointe-Noire, nous avons les travaux d’études des grands corridors multimodaux Brazzaville Pointe-Noire-Brazzaville et plus loin, ce sera à Kinshasa ou à Bangui. Nous avons aussi une boucle de l’amitié dans le domaine de l’énergie. En fait, tous ces projets d’infrastructures environnementaux sont en synergie avec les projets comme ceux des villes résilientes où d’anciens projets comme la route Brazzaville-Mindouli », a conclu l’ambassadeur de l’UE au Congo.
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